En quarante ans, l’emploi se concentre progressivement dans les grandes zones d’emploi hors Île-de-France – Insee

Source: En quarante ans, l’emploi se concentre progressivement dans les grandes zones d’emploi hors Île-de-France – Insee Première – 1895

 

Des évolutions d’emploi contrastées selon les zones d’emploi

Entre 1975 et 2018, l’emploi a augmenté en France métropolitaine de 25 %, soit + 0,5 %
en moyenne par an. Les évolutions sont diverses sur le territoire. Sur les 287 zones d’emploi de France métropolitaine, chacune constituant un marché du travail local, l’emploi
diminue dans environ un quart d’entre elles, alors qu’il augmente de plus de 35 %
dans un autre quart (plus de + 0,7 % en moyenne par an) (figure 1). Par exemple, dans les zones de Roubaix-Tourcoing, Remiremont, Flers, Carhaix-Plouguer,
l’emploi baisse en moyenne de 0,6 % par an sur la période, quand il augmente de 1,4 %
dans celles de Montélimar, Annecy, Cannes, Bastia.


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Tableau

 

Figure 1 – Évolution de l’emploi par zone d’emploi entre 1975 et 2018

Figure 1 – Évolution de l’emploi par zone d’emploi entre 1975 et 2018
Les données détaillées sont disponibles dans le fichier à télécharger.

Figure 1 – Évolution de l’emploi par zone d’emploi entre 1975 et 2018

  • Note : sur la carte figurent le nom encadré des 18 grandes zones d’emploi ainsi que
    celui des autres zones citées dans le texte.
  • Lecture : entre 1975 et 2018, l’emploi a progressé en moyenne de 2,0 % par an dans
    la zone d’emploi de Toulouse.
  • Champ : France métropolitaine, emplois au lieu de travail.
  • Sources : Insee, recensements de la population 1975 et 2018.

En quarante ans, l’emploi a davantage augmenté dans les grandes zones d’emploi, hors
Île-de-France

Depuis 1975, la concentration de l’emploi s’accentue dans les grandes zones d’emploi,
soit celles de plus de 200 000 emplois, situées hors Île-de-France. En 2018, ces zones
regroupent 24,5 % des emplois de France métropolitaine, soit 3,7 points de plus qu’en
1975. La part des emplois situés en Île-de-France est stable sur la période (environ
22 %) tandis que celle des emplois dans les zones de taille intermédiaire (entre 50 000
et 200 000 emplois) diminue légèrement (– 0,6 point) et baisse de 2,9 points dans
les petites zones, soit celles de moins de 50 000 emplois (figure 2).


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Tableau

 

Figure 2 – Répartition de l’emploi selon la taille des zones d’emploi de 1975 à 2018

en %

Figure 2 – Répartition de l’emploi selon la taille des zones d’emploi de 1975 à 2018 (en %) – Lecture : en 2018, les grandes zones d’emploi hors Île-de-France regroupent 24,5 %
de l’emploi de France métropolitaine, contre 20,8 % en 1975.
1975 1982 1990 1999 2008 2013 2018
Île‑de‑France 22,4 22,0 23,0 22,1 21,9 22,1 22,2
Plus de 200 000 emplois (hors Île‑de‑France) 20,8 21,2 21,8 22,4 23,3 23,8 24,5
Entre 50 000 et 200 000 emplois (hors Île‑de‑France) 35,5 35,7 35,1 35,7 35,6 35,2 34,9
Moins de 50 000 emplois (hors Île‑de‑France) 21,3 21,1 20,0 19,8 19,2 18,9 18,4
France métropolitaine 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0
  • Lecture : en 2018, les grandes zones d’emploi hors Île-de-France regroupent 24,5 %
    de l’emploi de France métropolitaine, contre 20,8 % en 1975.
  • Champ : France métropolitaine.
  • Source : Insee, recensements de la population.

Figure 2 – Répartition de l’emploi selon la taille des zones d’emploi de 1975 à 2018

  • Lecture : en 2018, les grandes zones d’emploi hors Île-de-France regroupent 24,5 %
    de l’emploi de France métropolitaine, contre 20,8 % en 1975.
  • Champ : France métropolitaine.
  • Source : Insee, recensements de la population.

Sur la période, dans les 18 grandes zones, l’emploi augmente en moyenne par an de
0,9 %. Dans cette catégorie, celle de Toulouse, particulièrement dynamique, gagne
2,0 % d’emplois en moyenne par an depuis 1975. L’emploi augmente en moyenne de 0,5 %
dans les zones de taille intermédiaire. Dans les petites zones, l’emploi n’augmente
en moyenne que de 0,2 % et plus d’un tiers d’entre elles perdent des emplois comme
Alençon, Bar-le-Duc, Vichy et Vierzon.

L’emploi se concentre de plus en plus de la façade atlantique à la Méditerranée ainsi
que de la vallée du Rhône à l’Alsace

En plus de l’Île-de-France, les zones d’emploi peuvent être regroupées en trois grands
espaces ayant des dynamiques d’emploi et de population très différentes (figure 3). La « diagonale des faibles densités » des Ardennes au Massif Central est marquée
par un déclin de l’activité. Le « U de la croissance », qui regroupe les zones d’emploi
des côtes atlantique et méditerranéenne ainsi que de l’axe allant de la vallée du
Rhône à l’Alsace, est très dynamique économiquement et démographiquement. Enfin, dans
le troisième espace réunissant la façade de la Manche et le Centre-ouest, la situation
est intermédiaire (méthodes).


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Tableau

 

Figure 3a – Répartition de l’emploi selon les quatre grands espaces de 1975 à 2018

en %

Figure 3a – Répartition de l’emploi selon les quatre grands espaces de 1975 à 2018 (en %) – Lecture : en 2018, 40,9 % des emplois de France métropolitaine sont situés dans le
« U de la croissance ». Cet espace, en forme de « U », regroupe les zones d’emploi
très dynamiques économiquement et démographiquement.
1975 1982 1990 1999 2008 2013 2018
Île-de-France 22,4 22,0 23,0 22,1 21,9 22,1 22,2
Façade Manche – Centre-ouest 21,3 21,2 20,4 20,5 20,0 19,6 19,3
Diagonale des faibles densités 22,1 21,4 20,1 19,7 18,7 18,2 17,6
U de la croissance 34,2 35,4 36,5 37,7 39,4 40,1 40,9
France métropolitaine 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0
  • Lecture : en 2018, 40,9 % des emplois de France métropolitaine sont situés dans le
    « U de la croissance ». Cet espace, en forme de « U », regroupe les zones d’emploi
    très dynamiques économiquement et démographiquement.
  • Champ : France métropolitaine.
  • Source : Insee, recensements de la population.

Figure 3a – Répartition de l’emploi selon les quatre grands espaces de 1975 à 2018

  • Lecture : en 2018, 40,9 % des emplois de France métropolitaine sont situés dans le
    « U de la croissance ». Cet espace, en forme de « U », regroupe les zones d’emploi
    très dynamiques économiquement et démographiquement.
  • Champ : France métropolitaine.
  • Source : Insee, recensements de la population.

Le « U de la croissance » est l’espace géographique dans lequel l’emploi augmente
le plus entre 1975 et 2018 (+ 0,9 % en moyenne par an). Il concentre de plus en plus
d’emplois, sa part passant de 34,2 % à 40,9 %, soit + 6,7 points. À l’inverse, la
part des deux autres espaces diminue : la part de la « diagonale des faibles densités »
dans l’emploi total baisse de 4,5 points et celle de l’espace « façade Manche – Centre‑ouest »
de 2,0 points.

Cette concentration de l’emploi dans le « U de la croissance » résulte en partie de
la présence de grandes zones d’emploi plus dynamiques. En effet, 11 des 18 zones d’emploi
de plus de 200 000 emplois s’y trouvent : Lyon, Toulouse, Bordeaux, Marseille, Nantes,
Strasbourg, Rennes, Montpellier, Grenoble, Nice et Toulon. Ce territoire regroupe
aussi près de la moitié des zones de taille intermédiaire.

Néanmoins, même à taille de zone équivalente, l’emploi est plus dynamique dans le « U
de la croissance » (figure 4). Par exemple, entre 1975 et 2018, parmi les grandes zones d’emploi, l’emploi augmente
respectivement de 1,0 % par an en moyenne dans la zone de Toulon située dans le « U
de la croissance », de 0,6 % dans celle de Caen située dans la « façade Manche – Centre-ouest »
et de 0,5 % dans la zone de Clermont-Ferrand située dans la « diagonale des faibles
densités ».


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Tableau

 

Figure 4 – Évolution annuelle moyenne de l’emploi entre 1975 et 2018 dans les quatre
grands espaces selon la taille des zones d’emploi

en %

Figure 4 – Évolution annuelle moyenne de l’emploi entre 1975 et 2018 dans les quatre
grands espaces selon la taille des zones d’emploi (en %) – Lecture : entre 1975 et 2018, l’emploi a progressé en moyenne de 1,1 % par an dans
l’ensemble des zones d’emplois de plus de 200 000 emplois situées dans le « U de la
croissance ».
Plus de 200 000 emplois De 50 000 à 200 000 emplois Moins de 50 000 emplois Ensemble
U de la croissance 1,1 0,9 0,7 0,9
Façade Manche – Centre-ouest 0,6 0,3 0,0 0,3
Diagonale des faibles densités 0,2 0,0 – 0,1 0,0
Île-de-France /// /// /// 0,5
  • /// : absence de résultat due à la nature des choses.
  • Note : l’Île-de-France, considérée comme une seule zone, n’a pas de déclinaison par
    taille.
  • Lecture : entre 1975 et 2018, l’emploi a progressé en moyenne de 1,1 % par an dans
    l’ensemble des zones d’emplois de plus de 200 000 emplois situées dans le « U de la
    croissance ».
  • Champ : France métropolitaine.
  • Source : Insee, recensements de la population 1975 et 2018.

Figure 4 – Évolution annuelle moyenne de l’emploi entre 1975 et 2018 dans les quatre
grands espaces selon la taille des zones d’emploi

  • Note : l’Île-de-France, considérée comme une seule zone, n’a pas de déclinaison par
    taille.
  • Lecture : entre 1975 et 2018, l’emploi a progressé en moyenne de 1,1 % par an dans
    l’ensemble des zones d’emplois de plus de 200 000 emplois situées dans le « U de la
    croissance ».
  • Champ : France métropolitaine.
  • Source : Insee, recensements de la population 1975 et 2018.

Les emplois des fonctions métropolitaines et présentielles augmentent fortement, ceux
des fonctions de production baissent

Ces dernières décennies, l’économie française a connu de profondes mutations sous
les effets conjoints du développement du secteur tertiaire, de l’émergence des nouvelles
technologies de l’information et de la communication ou de l’économie de la connaissance.
Dans le même temps, les parts des emplois industriels et agricoles dans l’emploi total
ont diminué.

Ces mutations de l’économie se traduisent par des transformations de la nature des
emplois (méthodes) [Bernert, 2021]. Elles ont eu lieu pour l’essentiel dans les années 1980 et 1990. Depuis le début
des années 2000, le changement se poursuit à un rythme moins soutenu.

Depuis 1982, la part des emplois des fonctions à orientation présentielle (distribution,
artisanat commercial, services de proximité, santé et action sociale) a augmenté de
11,1 points. Ces emplois représentent 41,2 % de l’ensemble des emplois de France métropolitaine
en 2018 (figure 5). Dans le même temps, les fonctions métropolitaines (conception – recherche, gestion,
commerce inter-entreprises, prestations intellectuelles, culture – loisirs) progressent
de 7,1 points pour atteindre 26,9 % des emplois en 2018.

À l’inverse, la part des fonctions de production concrète (fabrication industrielle
et artisanale, bâtiment et travaux publics, agriculture) est divisée par deux, passant
de 34,0 % des emplois en 1982 à 16,9 % en 2018.


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Tableau

 

Figure 5 – Répartition de l’emploi selon les familles de fonctions de 1982 à 2018

en %

Figure 5 – Répartition de l’emploi selon les familles de fonctions de 1982 à 2018 (en %) – Lecture : en 2018, les emplois des fonctions métropolitaines représentent 26,9 % de
l’ensemble des emplois.
1982 1990 1999 2008 2018
Fonctions métropolitaines 19,8 22,1 23,2 25,1 26,9
Fonctions de production concrète 34,0 26,6 21,6 19,2 16,9
Fonctions à orientation présentielle 30,1 33,8 38,1 40,2 41,1
Fonctions transversales 16,1 17,5 17,1 15,5 15,1
Ensemble 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0
  • Lecture : en 2018, les emplois des fonctions métropolitaines représentent 26,9 % de
    l’ensemble des emplois.
  • Champ : France métropolitaine.
  • Source : Insee, recensements de la population.

Figure 5 – Répartition de l’emploi selon les familles de fonctions de 1982 à 2018

  • Lecture : en 2018, les emplois des fonctions métropolitaines représentent 26,9 % de
    l’ensemble des emplois.
  • Champ : France métropolitaine.
  • Source : Insee, recensements de la population.

La diagonale des faibles densités subit la diminution des emplois de production

Les emplois des fonctions métropolitaines sont plus particulièrement présents en Île-de-France
et dans les grandes zones d’emploi (respectivement 39,4 % et 30,2 % de l’ensemble
des emplois) (figure 6). Les emplois de production concrète sont, à l’inverse, plus fréquents dans les zones
d’emploi de plus petite taille. Assurant un rôle de proximité, les emplois des fonctions
présentielles et des fonctions transversales sont autant présents dans les petites
que dans les grandes zones d’emploi.


Graphique
Tableau

 

Figure 6 – Répartition de l’emploi selon les familles de fonctions et la taille des
zones d’emploi, en 1982 et 2018

en %

Figure 6 – Répartition de l’emploi selon les familles de fonctions et la taille des
zones d’emploi, en 1982 et 2018 (en %) – Lecture : en 2018, 39,4 % des emplois situés en Île-de-France sont des emplois des
fonctions métropolitaines.
Île-de-France Plus de
200 000 emplois
(hors Île‑de‑France)
De 50 000 à
200 000 emplois
(hors Île‑de‑France)
Moins de
50 000 emplois
(hors Île‑de‑France)
1982 2018 1982 2018 1982 2018 1982 2018
Fonctions métropolitaines 33,1 39,4 21,2 30,2 15,5 21,6 11,7 17,3
Fonctions de production concrète 20,2 9,8 28,4 14,0 38,5 19,4 46,5 24,7
Fonctions à orientation présentielle 30,7 38,1 32,6 41,4 29,7 42,7 27,7 41,6
Fonctions transversales 16,0 12,7 17,8 14,4 16,3 16,3 14,1 16,4
Ensemble 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0
  • Lecture : en 2018, 39,4 % des emplois situés en Île-de-France sont des emplois des
    fonctions métropolitaines.
  • Champ : France métropolitaine, emplois au lieu de travail.
  • Sources : Insee, recensements de la population 1982 et 2018.

Figure 6 – Répartition de l’emploi selon les familles de fonctions et la taille des
zones d’emploi, en 1982 et 2018

  • Lecture : en 2018, 39,4 % des emplois situés en Île-de-France sont des emplois des
    fonctions métropolitaines.
  • Champ : France métropolitaine, emplois au lieu de travail.
  • Sources : Insee, recensements de la population 1982 et 2018.

Cette inégale répartition a un impact sur les dynamiques des quatre grands espaces.
La forte présence d’emplois de production concrète dans la « diagonale des faibles
densités » explique en partie son ralentissement économique depuis les années 1980.
Le même phénomène a lieu, dans une moindre mesure, dans la « façade Manche – Centre-ouest ».
Au contraire, le « U de la croissance », qui concentre la grande majorité des zones
d’emploi de plus de 200 000 emplois, profite de l’essor des fonctions métropolitaines.
Le dynamisme de cet espace est renforcé puisqu’il bénéficie, en plus de sa structure
d’emploi et de la taille de ses zones d’emploi, d’un effet géographique propre. En
effet, à taille de zone d’emploi identique, la hausse des emplois des fonctions métropolitaines
est plus forte au sein du « U de la croissance » que dans le reste de la France et
la baisse des emplois de production y est moindre. Par exemple, entre 1982 et 2018,
les emplois des fonctions métropolitaines augmentent de 2,6 % en moyenne par an dans
la zone de Rennes alors que dans celle de Caen, ils augmentent seulement de 1,4 %.
Durant la même période, les emplois de production concrète baissent de 1,8 % en moyenne
par an dans la zone de Limoges située dans la « diagonale des faibles densités » alors
qu’ils baissent de 0,8 % par an dans celle d’Angers située dans le « U de la croissance ».

L’Île-de-France, bien qu’ayant une répartition par secteur plus favorable (les fonctions
métropolitaines et présentielles y sont surreprésentées), n’a pas une croissance de
l’emploi supérieure à celle de la moyenne nationale.

Encadré – Crise sanitaire : un redémarrage inégal selon les espaces géographiques

Avec la crise sanitaire et le premier confinement liés à la pandémie de Covid-19,
l’emploi a brutalement chuté au 1er semestre 2020. La chute est d’ampleur similaire dans les quatre grands espaces (entre
– 2,5 % et – 2,8 %). L’emploi a redémarré dès le 3e trimestre 2020 pour dépasser son niveau d’avant-crise dans tous les espaces au 3e trimestre 2021. Le « U de la croissance » et la « façade Manche – Centre-ouest »
sont ceux où le redémarrage post-crise est le plus marqué. A contrario, l’Île-de-France, dont la croissance avant la crise était forte, peine à retrouver
une dynamique d’emploi. La « diagonale des faibles densités » se situe dans une situation
intermédiaire, juste devant l’Île-de-France mais derrière les deux autres espaces
qui profitent pleinement du rebond de l’économie.


Graphique
Tableau

 

Évolution de l’emploi dans les quatre grands espaces depuis le 4e trimestre 2019

indice, base 100 fin 2019

Évolution de l’emploi dans les quatre grands espaces depuis le 4e trimestre 2019 (indice, base 100 fin 2019) – Lecture : dans le « U de la croissance », l’emploi a baissé de 2,8 % entre fin décembre
2019 et fin juin 2020.
2019 T4 2020 T1 2020 T2 2020 T3 2020 T4 2121 T1 2021 T2 2021 T3
Diagonale des faibles densités 100,0 98,0 97,3 98,8 98,8 99,3 100,2 100,4
Façade Manche – Centre-ouest 100,0 98,0 97,5 99,1 99,2 99,9 100,8 101,1
Île-de-France 100,0 98,4 97,3 98,5 98,1 98,6 99,6 100,3
U de la croissance 100,0 98,0 97,2 98,9 98,8 99,6 101,1 101,5
France métropolitaine 100,0 98,1 97,3 98,8 98,7 99,3 100,6 101,0
  • Lecture : dans le « U de la croissance », l’emploi a baissé de 2,8 % entre fin décembre
    2019 et fin juin 2020.
  • Champ : France métropolitaine, emploi salarié au lieu de travail.
  • Sources : estimations trimestrielles Acoss-Urssaf, Dares, Insee du 3e trimestre 2021.

Évolution de l’emploi dans les quatre grands espaces depuis le 4e trimestre 2019

  • Lecture : dans le « U de la croissance », l’emploi a baissé de 2,8 % entre fin décembre
    2019 et fin juin 2020.
  • Champ : France métropolitaine, emploi salarié au lieu de travail.
  • Sources : estimations trimestrielles Acoss-Urssaf, Dares, Insee du 3e trimestre 2021.

 

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